La Conscience, Extrait d'une Analyse Comparative
En raison que je fournis toujours des efforts considérables pour chacun de mes travaux, cela me ferait grand plaisir de vous les présenter dans l'intégralité, cependant afin d'éviter tout plagiat de la part d'un individu quelconque, je vous présenterai ici simplement un extrait d'une de mes analyses comparatives traitant de la conscience selon l'approche psychodynamique et phénoménologique:
« (...)
Dans le premier modèle de l'appareil psychique de Freud, les composantes sont les suivantes: l'inconscient, le préconscient et le conscient. Le conscient « correspond à ce dont l’individu est conscient à un moment donné » (Parent, Cloutier, 2009, 112). La notion de l'inconscient associée au premier modèle structural émis par Freud domine dans cette perspective où la conscience à une part limité et secondaire, comme le suggère la citation suivante: « C’est plutôt l’inconscient qui constitue le plus grand des trois niveaux de conscience [...] » (Parent, Cloutier, 2009, 113).
La conception psychodynamique suggère que pour guérir d'une psychopathologie, il faut accéder à l'inconscient en utilisant, par exemple, l'analyse des rêves ou en participant à des séances d'hypnose.
Les pulsions émergeant de l'inconscient vers le conscient sont à l'origine des agissements, décisions et émotions conscientes de l’individus.
(...)
(...)
Dans les deux approches, la notion de la conscience est considéré comme un état où on réalise ce qui est entrain d’arriver à moment donné et de manière subjective. Cependant, son rôle et son importance diffèrent dans l’une et l’autre des perspectives.
La conception freudienne mets la conscience en deuxième plan: elle est soumise à l’emprise cachée de l’inconscient, elle en est sa « marionnette ». Tandis que, dans la perspective phénoménologique, elle est le seul état digne d’être considéré afin de justifier les réflexions, les choix et les agissements des individus. En d’autres mots, les actions posées, les idées mentales et les affectes n’ont d’intérêt qu’à être pris en considération dans le champs de la conscience selon la théorie rogérienne, contrairement à l’approche psychodynamique qui les expliquent par des pulsions qui passe du côté du conscient à l’occasion, provenant des profondeurs de l’inconscient.
Donc, Carl Rogers place la conscience comme indissociable de l’expérience vécues. Sigmund Freud la définit plutôt comme une des composantes secondaires de l’appareil psychique, la principale étant l’inconscient.
(...)»
MC
« (...)
Dans le premier modèle de l'appareil psychique de Freud, les composantes sont les suivantes: l'inconscient, le préconscient et le conscient. Le conscient « correspond à ce dont l’individu est conscient à un moment donné » (Parent, Cloutier, 2009, 112). La notion de l'inconscient associée au premier modèle structural émis par Freud domine dans cette perspective où la conscience à une part limité et secondaire, comme le suggère la citation suivante: « C’est plutôt l’inconscient qui constitue le plus grand des trois niveaux de conscience [...] » (Parent, Cloutier, 2009, 113).
La conception psychodynamique suggère que pour guérir d'une psychopathologie, il faut accéder à l'inconscient en utilisant, par exemple, l'analyse des rêves ou en participant à des séances d'hypnose.
Les pulsions émergeant de l'inconscient vers le conscient sont à l'origine des agissements, décisions et émotions conscientes de l’individus.
(...)
L'approche phénoménologique se base sur les
expériences environnementales et internes vécues consciemment par le soi. Pour
appuyer cette affirmation, citons Le
Grand Dictionnaire de la Psychologie provenant des éditions Larousse, dont la
phénoménologie se définit de la façon suivante: «
Étude descriptive des vécues psychologique [...] tels qu'ils
peuvent apparaître à la conscience de celui qui en fait l'expérience. » (Grand Dictionnaire
de la Psychologie, 2011, 686)
Cette perspective de la personnalité mise sur la
capacité de l'individu d'être maître de sa vie et d'actualiser son quotidien en
fonction de ses buts personnels.(...)
Dans les deux approches, la notion de la conscience est considéré comme un état où on réalise ce qui est entrain d’arriver à moment donné et de manière subjective. Cependant, son rôle et son importance diffèrent dans l’une et l’autre des perspectives.
La conception freudienne mets la conscience en deuxième plan: elle est soumise à l’emprise cachée de l’inconscient, elle en est sa « marionnette ». Tandis que, dans la perspective phénoménologique, elle est le seul état digne d’être considéré afin de justifier les réflexions, les choix et les agissements des individus. En d’autres mots, les actions posées, les idées mentales et les affectes n’ont d’intérêt qu’à être pris en considération dans le champs de la conscience selon la théorie rogérienne, contrairement à l’approche psychodynamique qui les expliquent par des pulsions qui passe du côté du conscient à l’occasion, provenant des profondeurs de l’inconscient.
Donc, Carl Rogers place la conscience comme indissociable de l’expérience vécues. Sigmund Freud la définit plutôt comme une des composantes secondaires de l’appareil psychique, la principale étant l’inconscient.
(...)»
BIBLIOGRAPHIE
CERVONE, Daniel, A.PERVIN, Lawrence, Personnalité Théorie et Recherche, Montréal, Du Renouveau Pédagogique Inc., 2014, 513 p.
PARENT, Guy, CLOUTIER, Pierre, Initiation à la Psychologie, Montréal, Beauchemin Chenelière Éducation, 2009, 467 p.
BLOCH, Henriette, CHEMAMA, Roland, DÉPRET, Éric, GALLO, Alain, LECONTE, Pierre, LE NY, Jean-François, POSTEL, Jacques, REUCHLIN, Maurice, Grand Dictionnaire de la Psychologie, Paris, Larousse, 2011, 1062 p.
CERVONE, Daniel, A.PERVIN, Lawrence, Personnalité Théorie et Recherche, Montréal, Du Renouveau Pédagogique Inc., 2014, 513 p.
PARENT, Guy, CLOUTIER, Pierre, Initiation à la Psychologie, Montréal, Beauchemin Chenelière Éducation, 2009, 467 p.
BLOCH, Henriette, CHEMAMA, Roland, DÉPRET, Éric, GALLO, Alain, LECONTE, Pierre, LE NY, Jean-François, POSTEL, Jacques, REUCHLIN, Maurice, Grand Dictionnaire de la Psychologie, Paris, Larousse, 2011, 1062 p.
MC
Commentaires
Publier un commentaire