UTILISATION DU PRÉSERVATIF, CONTRACTION DU VIRUS DU SIDA ET CROYANCES CULTURELLES

 

Voilà, je vous présente ici ma synthèse d’un article qui illustre les grandes lignes d’une recherche.
Cette recherche concerne l’utilisation du préservatif ou la non-utilisation dû aux croyances culturelles et de société sur la Côté d’Ivoire.

Mon avis est que le Québec est concerné également. Les croyances, les représentations sociales et le plaisir obsactif est très associé à l’omission d’utiliser le préservatif et ce comportement absent chez trop d’individu ne contribue pas à stopper la transmission du VIH, le virus du Sida, qui est une véritable épidémie. En plus d’être incurable bien que traitable, être porteur du VIH expose à une lourde stigmatisation et est un véritable choc pour celui qui apprend en être porteur.

La recherche a été mené par un homme à la peau noir. Un Ivoirien, je crois bien. Il est de mon devoir de vous en informer, car la raciste à contrôler le monde, et de voir un blanc dire qu’il faut changer les mentalités sur la Côte d’Ivoire m’aurait semblé facile. Fais-je preuve d’un raciste inversé et indirect ici?

C’est parce qu’un de mes ami.e.s Salvadorien dit que les blancs ont détruit la culture de millier de groupe important, et qu’il faut s’avérer prudent et garder cette idée dans la tête…. Surtout quand un grand chercheur prétend que l’on doit changer les mentalités sur un groupe ayant une appartenance culturelle différente de la sienne.

Sans vous faire attendre plus longtemps, je vous présente ma courte synthèse qui met en lumière les grandes lignes de cette recherche. Mes références seront ajoutées sans faute dans les deux semaines à venir, attendez-vous à ce que j’édite l’article à cet effet.

 «  Cette recherche a comme objectif principal de déterminer les variables qui influencent le port ou non du préservatif lors de relations sexuelles. Cette étude a été menée sur quatre cent résidents de la Côte d’Ivoire (les variables fondamentales telles l’âge, la religion, etc. ont été identifiées) sous forme de questionnaires. Puis, la méthode de traitement et d’analyse des résultats ont été vu par la méthode d’Analyse Factorielle des Correspondances et la Théorie du Comportement Planifié.

Les croyances socioculturelles sont au cœur des résultats obtenus : si les utilisateurs du préservatif mettent de l’avant l’importance de la vie et qu’un esprit saint dans un corps saint amène la force, les non-utilisateurs sont d’avis que la mort fait partie de l’existence de chacun et que la craindre est un signe de non-courage. De plus, les non-utilisateurs ont cette vision qu’il est préférable de jouir de notre vie le temps que nous vivons et que la procréation est sacrée. À cet effet, deux grandes motivations et deux grands freins au port du préservatif ont été mis de l’avant. Les deux motivations sont de type 1) hypocondriaque -peur de tomber malade- et 2) hédonisme -vouloir préserver par amour et affection la santé de sa partenaire- et les freins sont de type 3) oblatif -plaisir personnel- et 4) socioculturelle -croyances de la région-. Ce qui est étonnant est que dans cette région du monde ou l’aspect économique est difficile, le prix du préservatif n’est pas un obstacle principal dans son utilisation. C’est plutôt le vécu social et les croyances qui sont à l’origine de ce choix. Ceci est un indicateur important pour orienter de manière scientifique les gestes à poser afin de réduire la propagation de maladies transmissibles sexuellement, tel le virus du VIH. Par ailleurs, les recommandations sont d’abord de faire connaître le préservatif, d’ensuite de fournir de l’informations par des sources commerciales et non-commerciales. Et ce, en appliquant la Théorie de Communication Interpersonnelle (CIP) qui a pour but de changer les mentalités sur des variables précises de par la communication. Plusieurs sous-modèles du CIP sont proposés. Car, nous considérons qu’une intention de porter le préservatif favorise le comportement en ce sens. »



BIBLIOGRAPHIE: À VENIR SOUS PEU!


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